Jean-Pierre Elkabbach devait-il se rendre en Inde aux côtés de Nicolas Sarkozy ?Pour Apathie, la polémique qui agite le monde journalistique est justifiée.« Les journalistes sont d'un côté, posant des questions, tandis que derrière le Président ont pris place ceux qui composent sa délégation officielle, ses invités en quelque sorte. Parmi ceux-ci, on compte des ministres, des parlementaires, des industriels et aussi un journaliste, en l'occurrence le président d'Europe 1, Jean-Pierre Elkabbach. Du coup, celui-ci se trouvait physiquement derrière le Président, spectateur forcé des questions posés par ses confrères. Était-il, dans cette situation, à sa place ? N'était-il pas, géographiquement et donc professionnellement, passé de l'autre côté de la barrière, c'est-à-dire exactement à l'endroit où les journalistes ne devraient pas être ? », écrit-il sur son blog, évoquant le voyage officiel de Nicolas Sarkozy.
Jean-Marc Morandini, la semaine a consacré un article dans son blog sur Jean-Pierre Elkabbach deux jours après... "La suppression de la publicité peut être une "vraie chance" pour la télévision publique, si elle obtient des "moyens et une indépendance garantie", a estimé mercredi Jean-Pierre Elkabbach, en sa qualité de président d'une télévision sans publicité, Public Sénat, et d'une radio privée financée par la publicité, Europe 1.".
Pas un mot sur la polémique sur Jean-Pierre Elkabbach, alors qu'il rapporte toutes les péripéties de Christine Ockrent.
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