Nouvel acharnement : Cindy Sanders !

J2M a trouvé une nouvelle victime : Cindy Sanders !

Une victime de J2M c'est quoi ? C'est quelqu'un de qui il rapporte tous les faits et gestes, en disant qu'on en fait trop et qu'il ne faut plus donner d'échos à cette personne !
Donc, depuis un mois, il s'acharne contre Cindy Sanders.

Hier soir, Cindy Sanders était donc l'invitée de Julien Courbet. Commentaire de J2M: On imagine la colère des "vrais" artistes qui eux n'ont pas accès aux Prime Time de la Une...

J2M lui, quand il travaillait sur la Une, a toujours reçu de vrais artistes:

Le blog de Jean-Marc Morandini dans la ligne de mire de Jean-Pierre Elkabbach

Lors de la rencontre de Jean-Pierre Elkabbach et de l’Association des Journalistes médias (AJM) mercredi à Paris, «20 Minutes» a questionné le patron d’Europe 1 à propos du blog de Jean-Marc-Morandini, qui anime tous les jours le «Grand Direct» sur l’antenne. Le site médias aux 500.000 visiteurs uniques mensuels irrite la profession, notamment en reprenant un peu trop systématiquement les infos des confrères.

«Il faut qu’il améliore la qualité, a répondu Jean-Pierre Elkabbach. Nous allons discuter dans les mois qui viennent pour établir des bases différentes, pour que la situation rentre dans le rang. Je m’en charge, soyez patients.»

Démentis
Contacté dans l’après-midi, Jean-Marc Morandini reste droit dans ses bottes. «80% de nos infos viennent de la presse sérieuse, explique t-il, mais nous citons toujours les sources.» (sic)

Problème économique
A ce débat sur le contenu se greffe une polémique économique. Les recettes du blog, qui emploie trois personnes à plein temps, ne tombent pas dans l’escarcelle d’Europe 1: le site est hébergé sur un autre média du groupe Lagardère, tele7.fr. Mais cela n’empêche pas Jean-Marc Morandini de citer largement son blog sur l’antenne d’Europe 1.

Cette situation irrite dans le rangs de la station. A ce sujet, Jean-Pierre Elkabbach a affirmé qu’Europe 1 avait obtenu «une quote-part sur les recettes publicitaires du blog». Ce qui est démenti par Jean-Marc Morandini. «Ce pourcentage est de 0%, à moins que Télé 7 reverse une part des recettes directement à Europe 1 selon un accord dont j’ignore l’existence», nous a t-il précisé.

Raphaëlle Baillot, 20 Minutes

Morandini attaque Imedias.biz

Article original: Par Augustin Scalbert (Rue89)

Traité d'un nom d'oiseau sur une antenne de la TNT dans une sombre histoire relative à la Star Academy, l'animateur n'assigne pas la chaîne en question (W9), ni aucun des médias ayant repris les propos ou la vidéo. Seuls le site imédias.biz et l'auteure des propos sont visés.

Raphaëlle Ricci, "professeur d'expression scénique" du télécrochet de TF1 en perte de vitesse, n'avait pas mâché ses mots à l'encontre du chroniqueur médias, sur W9, en février.

Ricci reproche à Morandini des commentaires désobligeants postés sur son blog, du genre:
"Dans la vie, il y a ceux comme Raphaëlle Ricci qui aiment cracher dans la soupe après en avoir bien profité". Après l'émission de W9 (groupe M6), la vidéo est postée par un internaute sur Dailymotion (et vite retirée), puis sur Youtube, et reprise ou citée -telle quelle ou en verbatim des déclarations- d'abord par imédias.biz, puis, pêle-mêle, Télé 7 Jours, Libération, TVMag.com,
Closer, Programme-tv.net (selon une liste dressée par imédias)... Elle est toujours visible sur 20Minutes.fr ou LePost.fr. Pourtant, seul imédias.biz est assigné. (...)

On peut éventuellement comprendre que Morandini n'attaque pas Télé 7 Jours, une filiale de Lagardère, son principal employeur (qui héberge son blog et accueille son émission sur Europe 1) avec Bolloré (Direct 8). Mais les autres titres ou sites, qui appartiennent presque tous
à de grands groupes de médias?

Seule explication possible: en réclamant 20 000 euros à imédias, Jean-Marc Morandini cherche à gêner son principal concurrent sur le créneau des sites spécialisés en actualité sur les médias. Au dernier comptage effectué par Médiamétrie, le blog de "J2M" affiche 479 000 visiteurs uniques par mois, contre 322 000 pour imédias, qui est pourtant loin d'avoir la visibilité médiatique de J2M.

Revue de Presse = copier-coller

Hier soir, Jean-Marc Morandini publie un papier sur le remaniement de la communication de Nicolas Sarkozy.

Problème, le papier est un copier-coller servile d'une bonne moitié de ce papier, qui venait de paraître sur LCI.fr (le papier a depuis été mis à jour, d'où son horodatage)

Autre problème, plus grave pour J2M: les deux paragraphes qu'il reprend sur LCI.fr sont en fait extraits d'une dépêche AFP ! LCI paye un abonnement AFP, pas J2M, et çà, l'AFP n'aime pas. Mais pas du tout. Et eux ne font pas de sentiment...

Seul ajout de J2M sur le texte de l'AFP repassé par LCI: l'ajout d'une mention "Revue de Presse - Source LCI".

Là encore, plusieurs problèmes: d'abord, la source n'est pas LCI, la chaîne, mais son site. Et là, ça mériterait un lien... qui révélerait le plagiat. L'autre souci, c'est le conception que J2M a de la revue de presse. Une revue de presse, on y trouve des infos de plusieurs titres, avec du commentaire autour. Pas juste une recopie d'un seul papier d'un seul média.

Apparemment, chez J2M, Revue de Presse, ça veut dire copier-coller.

Polémique autour de la présence de J.-P. Elkabbach en Inde

Jean-Pierre Elkabbach devait-il se rendre en Inde aux côtés de Nicolas Sarkozy ?

Pour Apathie, la polémique qui agite le monde journalistique est justifiée.« Les journalistes sont d'un côté, posant des questions, tandis que derrière le Président ont pris place ceux qui composent sa délégation officielle, ses invités en quelque sorte. Parmi ceux-ci, on compte des ministres, des parlementaires, des industriels et aussi un journaliste, en l'occurrence le président d'Europe 1, Jean-Pierre Elkabbach. Du coup, celui-ci se trouvait physiquement derrière le Président, spectateur forcé des questions posés par ses confrères. Était-il, dans cette situation, à sa place ? N'était-il pas, géographiquement et donc professionnellement, passé de l'autre côté de la barrière, c'est-à-dire exactement à l'endroit où les journalistes ne devraient pas être ? », écrit-il sur son blog, évoquant le voyage officiel de Nicolas Sarkozy.

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Jean-Marc Morandini, la semaine a consacré un article dans son blog sur Jean-Pierre Elkabbach deux jours après... "La suppression de la publicité peut être une "vraie chance" pour la télévision publique, si elle obtient des "moyens et une indépendance garantie", a estimé mercredi Jean-Pierre Elkabbach, en sa qualité de président d'une télévision sans publicité, Public Sénat, et d'une radio privée financée par la publicité, Europe 1.".
Pas un mot sur la polémique sur Jean-Pierre Elkabbach, alors qu'il rapporte toutes les péripéties de Christine Ockrent.

"Sarkozy et les femmes" : Direct-8 annule une émission

La chaîne de Vincent Bolloré, grand ami du président, a annulé l'émission "88 minutes" de vendredi soir, ayant pour thème "Sarkozy et les femmes". La direction invoque des "raisons techniques".

Une émission intitulée "Sarkozy et les femmes" a été annulée à la dernière minute, vendredi soir 25 janvier, sur Direct 8, chaîne de télévision appartenant à Vincent Bolloré, un homme d'affaires connu pour être l'ami du président de la République.L'émission "88 minutes" devait avoir lieu en direct, en présence de Laurent Léger, auteur de "Cécilia" (janv. 2008, Pygmalion), de Jean-François Probst, auteur de "Les Dames du président" (janv. 2008, éds. du Rocher), de Michaël Darmon, auteur de "Ruptures" (janv. 2008, éds. du Rocher), ainsi que du publicitaire Jacques Séguéla.

Quelques heures avant le début de l'émission, programmée à 22h15, les invités ont été prévenus de son annulation "pour des raisons techniques".Pourtant, selon une source proche de Direct 8, la cause de l'annulation est toute autre. Ce serait en effet Yannick Bolloré, le directeur des programmes, qui aurait pris cette décision à la demande de son père Vincent Bolloré.Selon les sondeurs, la mise en scène de la vie privée de Nicolas Sarkozy est l'un des facteurs qui ont provoqué sa chute dans les enquêtes d'opinion. Or, Vincent Bolloré ne cache pas sa proximité avec le président, à qui il a déjà prêté son yacht et son jet privé.

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Cette polémique, dont tous les médias ont parlé (même le Figaro !), n'a pas été évoquée par Jean-Marc Morandini.

5 bonnes raisons pour créer ce blog

- Parce que Jean-Marc Morandini n'est pas un journaliste indépendant. Il lui arrive d'"oublier" des infos médias qui concernent Bollorré, Elkabbach ou Endemol quand c'est gênant, même si tous les autres médias qui parlent des médias en parlent.

- Parce que Jean-Marc Morandini n'est pas un journaliste objectif. Il nourri des rancoeurs et des haines, avec par exemple Bataille et Fontaine, qui l'ont remplacé sur TF1 quand il a été viré en 97. Il n'hésite pas à leur reprocher d'avoir fait la pire émission du PAF, alors que celle ci est... "Tout est possible" (si on oublie "le Bachelor", le mac et son harem...) . Il nourri aussi des haines et des guerres ouvertes idiotes contre Lio, Raphaëlle Ricci et Morini Bosc)

- Parce que Jean-Marc Morandini n'est pas un journaliste loyal. La règle élémentaire du journaliste est de citer ses sources. Or, son site et ses émissions sont toutes pompées sur Imedias, +Clair... Les seules sources qu'il cite sont Matthieu Delormeau, qui travaille pour lui et les médias pour qui il travaille. Il pille aussi les vidéos du net, les ré-encode et y pose son logo. Le culot le pousse même à attaquer les sites concurrents qui se plaignent :D

- Parce que Jean-Marc Morandini n'est pas un journaliste mais un critique, qui donne son avis sur tout mais qui n'informe pas. Il se gargarise des scores de ses émissions de son blog et de sa réussite personnelle et économique, mais en rien sur du contenu et sur une éthique. Il donne son avis sur tout, et est journaliste quand ça l'arrange. Son site est "un portail média objectif" quand on lui reproche ses parti pris, mais est un "blog personnel" quand on lui reproche l'acharnement gratuit contre ses ennemis.

- Parce que Jean-Marc Morandini n'est pas un journaliste tout court, pour les quatre raisons ci-dessus mais qu'il a l'arrogance des journalistes ratés.